La technologie moderne ne suffit pas à réduire le risque de catastrophe : Nous avons besoin des connaissances traditionnelles et indigènes
Cet article de blog, rédigé par Rohit Jigyasu, chef de projet de l'ICCROM, patrimoine urbain, changement climatique et gestion des risques de catastrophe, explique l'importance d'intégrer les connaissances autochtones et traditionnelles dans les plans de réduction des risques de catastrophe (RRC).