Réseaux d'apprentissage du Programme de leadership du patrimoine mondial ICCROM-UICN

Dans le cadre du Programme de leadership du patrimoine mondial ICCROM-UICN (WHL), le module dédié aux réseaux d'apprentissage promeut des activités visant à mettre en relation les personnes et les sites du patrimoine par le biais de l'apprentissage entre pairs, en faisant progresser les approches centrées sur les personnes et les sites. En reliant praticiens, institutions, communautés et sites du patrimoine mondial, les réseaux entre le patrimoine naturel et culturel, la recherche, la pratique et la politique sont renforcés dans le contexte des processus du patrimoine mondial. Les activités des réseaux d'apprentissage comprennent le réseau du Forum des gestionnaires de sites du patrimoine mondial (SMF), lancé en 2017, et la communauté thématique Nature-Culture de PANORAMA, lancée en 2020.

Call for Research-Practice Teams! Heritage Place Lab Pilot Phase

Appel aux équipes de recherche-pratique !

  • Phase pilote du Heritage Place Lab
  • Organisation par le Programme de leadership du patrimoine mondial ICCROM-UICN

Le Programme de leadership du patrimoine mondial ICCROM-UICN lance une nouvelle activité axée sur le renforcement des réseaux à travers la recherche et la gestion des sites dans le contexte de la Convention du patrimoine mondial. Afin de développer des programmes de recherche fondés sur la pratique pour les biens du patrimoine mondial, le WHL invite les chercheurs ainsi que les gestionnaires de sites à constituer des équipes de recherche-pratique et participer à la phase pilote du Heritage Place Lab, qui consiste en une série de 6 ateliers en ligne de type incubateur (1 atelier = 3 sessions : 3 heures/session) qui se tiendront en 2021-2022. Le résultat attendu du Heritage Place Lab est que chaque équipe de recherche-pratique définisse un programme de recherche pour un bien du patrimoine mondial, et que le WHL, en collaboration avec les institutions de recherche et les biens du patrimoine mondial concernés, élabore une proposition de recherche générale et/ou des propositions de recherche thématiques qui pourraient être utilisées ultérieurement dans le cadre de demandes de fonds de recherche.

Date limite de dépôt des candidatures : 30 juin 2021 (prolongé)

Durée de la phase pilote : juillet 2021- juillet 2022

Modalité : en ligne

Pour plus d'informations

Heritage Place Lab comme réseau d'apprentissage

Call for Research-Practice Teams! Heritage Place Lab Pilot Phase

Dans son Article 5, la Convention du patrimoine mondial de l'UNESCO invite les États parties à développer et encourager la recherche pour la protection de leur patrimoine culturel et naturel, conférant à la science un rôle important dans sa mise en œuvre. Même si le système du patrimoine mondial offre un tel espace d'échange et de collaboration entre chercheurs et praticiens, cela n'a pas été suffisamment et systématiquement exploré. La nécessité de renforcer les liens entre la conservation du patrimoine naturel et culturel, ainsi que les interconnexions entre et parmi la science, la pratique et la politique, est devenue de plus en plus évidente avec l'Agenda 2030 qui encourage la coopération intersectorielle, les partenariats et les approches fondées sur la science pour atteindre les 17 objectifs de développement durable. Pour tirer parti des opportunités existantes, le programme de leadership ICCROM-UICN sur le patrimoine mondial propose de stimuler les synergies mentionnées ci-dessus par le développement de réseaux d'apprentissage qui permettraient des interactions entre la science, la gestion et la politique dans le contexte du patrimoine mondial. Le but de cette approche est de clarifier et d'activer davantage les contributions de la gestion intégrée du patrimoine culturel et naturel, et les approches centrées sur les personnes pour le développement durable sur les sites du patrimoine mondial.

S'appuyant sur les réseaux de recherche existants, tels que les chaires UNESCO, les forums universitaires, les comités scientifiques internationaux de l'ICOMOS et les commissions et groupes de spécialistes de l'UICN, et sur des initiatives telles que le projet ICOMOS-UICN Connecting Practice, le WHL entend mettre en relation les chercheurs et les gestionnaires de sites par le biais du réseau du Forum des gestionnaires de sites du patrimoine mondial. Cela devrait permettre de lancer et soutenir des collaborations à long terme en utilisant la communauté thématique Nature-Culture de PANORAMA comme référentiel d'études de cas. Le WHL facilitera les liens entre le patrimoine naturel et culturel, la science et la pratique, afin de soutenir la gestion des sites et l'élaboration des politiques en testant le concept de Heritage Place Lab au cours d’une phase pilote.

Le Heritage Place Lab fonctionnera comme un incubateur de programmes de recherche pour des biens spécifiques du patrimoine mondial, en promouvant des canaux permettant à la recherche d'avoir un impact sur la gestion du site et d'influencer la recherche. Il consistera en six (6) ateliers en ligne de trois (3) sessions de trois (3) heures chacune, organisés sur une période d'un an. Au cours de ces ateliers, les questions de gestion des sites seront explorées en collaboration, ce qui permettra aux chercheurs de tester des théories et méthodologies avec des gestionnaires de sites travaillant sur le terrain. Les chercheurs auront accès aux biens du patrimoine mondial et acquerront une compréhension approfondie des besoins locaux. Les gestionnaires de sites se familiariseront avec les méthodes de recherche et coproduiront des programmes d’étude pour leurs sites du patrimoine mondial. La participation au Heritage Place Lab est ouverte à tout chercheur travaillant dans le domaine de la gestion du patrimoine ou lié à celui-ci, ainsi qu'aux gestionnaires de sites du patrimoine mondial.

Quels sont les objectifs du Heritage Place Lab ?

Le Heritage Place Lab a pour objectif d'initier une coopération à long terme entre la recherche et la pratique, en favorisant la mise en réseau internationale et la diffusion des résultats de la phase pilote. Au cours de ce processus, le Heritage Place Lab impliquera les gestionnaires de sites du patrimoine mondial dans la coproduction de programmes de recherche, permettant ainsi à la recherche d'influencer la gestion des sites du patrimoine mondial et l'élaboration des politiques. En outre, le Heritage Place Lab reliera la science à la pratique en créant une plateforme d'échange de connaissances et d'apprentissage par les pairs, en recherchant des points communs entre les connaissances scientifiques et les systèmes de connaissances locaux afin de co-créer des solutions innovantes, holistiques et inclusives pour la gestion des sites du patrimoine mondial.

La phase pilote 2021-2022 activera divers réseaux de recherche existants liés au domaine du patrimoine mondial en général et aux organisations partenaires du WHL en particulier. Sur la base des résultats de la phase pilote, un modèle susceptible d'être étendu sera élaboré dans le but de développer à plus long terme une stratégie de recherche sur le patrimoine mondial portant sur les avantages des approches centrées sur les personnes et la gestion intégrée du patrimoine culturel et naturel.

Qu'est-ce qu'une équipe de recherche - pratique ?

Les équipes de recherche-pratique seront composées d'un groupe de chercheurs (de 2 à 4) et d'un groupe de gestionnaires de sites (de 2 à 4). Le groupe de chercheurs peut comprendre des membres du corps enseignant, des étudiants post-doctoraux et des étudiants diplômés, basés dans une ou plusieurs institutions de recherche, couvrant les domaines du patrimoine culturel et/ou du patrimoine naturel. Le groupe de gestionnaires de sites (un bien du patrimoine mondial) peut comprendre 2 à 4 membres impliqués dans la gestion du patrimoine mondial, lesquels peuvent évoluer au sein d’une ou plusieurs institutions (autorités de gestion, municipalité, communauté, entre autres), et font partie du système de gestion du site du patrimoine mondial. Dans l'ensemble, le groupe de recherche pourrait proposer de travailler sur un bien du patrimoine mondial pour lequel il est déjà actif, ou sur l'un des biens du patrimoine mondial proposés par le WHL, parmi ceux présentés dans la communauté thématique Nature-Culture de PANORAMA (voir ci-dessous). Le processus de constitution des équipes sera soutenu, si nécessaire, par le WHL. Le WHL encourage les équipes de recherche-pratique à travailler de manière transrégionale et dans des groupes multidisciplinaires et interdisciplinaires, en considérant notamment le genre et l'équilibre intergénérationnel comme des priorités. Les équipes de recherche-pratique devront s'engager à travailler ensemble pendant toute la durée de la phase pilote du Heritage Place Lab et de ses activités de suivi (y compris entre les six ateliers en ligne de type incubateur).
Incitations à la participation

  1. Développement de solides relations de travail institutionnelles pour des engagements à long terme entre le WHL, les institutions de recherche et les biens du patrimoine mondial.
  2. Publication des résultats dans des revues scientifiques et des canaux liés au patrimoine mondial tels que des numéros spéciaux, une publication indépendante de l'ICCROM et la publication potentielle d'études de cas sur la plateforme PANORAMA Solutions for a Healthy Planet (https://panorama.solutions/en/portal/nature-culture).
  3. Participation à un événement parallèle lors de la 45ème session du Comité du patrimoine mondial (2022), au cours duquel les résultats du Heritage Place Lab et des équipes de recherche-pratique seront présentés.
  4. Possibilité d'établir des relations formelles entre le WHL et les institutions de recherche et de gestion de sites, par exemple par la signature d'un protocole d'accord (MoU) ou de tout autre accord applicable convenu entre les institutions collaboratrices.
  5. Promotion des partenariats entre les institutions de recherche et les institutions de gestion de sites afin d'initier et/ou maintenir un partenariat à long terme, établissant ainsi des passerelles entre les biens du patrimoine mondial et les institutions de recherche, parmi lesquelles les universités.
  6. Mise en avant de la mise en réseau et la croissance professionnelle entre les lieux, institutions, chercheurs et praticiens du patrimoine mondial qui collaborent.

Quels sont les critères de sélection ?

  1. Expérience en matière de recherche, qualité académique et visibilité (publications)
  2. Connaissances de base en matière de mise en œuvre de la Convention du patrimoine mondial
  3. Pérennité potentielle du partenariat institutionnel entre les institutions de recherche et les autorités de gestion des sites
  4. Adéquation des qualifications du groupe de recherche pour répondre aux besoins de la gestion du site du patrimoine mondial, y compris la capacité à communiquer dans la langue locale.
  5. Composition équilibrée entre les genres et intergénérationnelle des équipes de recherche et de pratique
  6. Pertinence du thème prioritaire

Quels sont les thèmes prioritaires de la phase pilote du Heritage Place Lab ?

  1. Incorporation des différents systèmes de connaissances afin d’influencer la politique du patrimoine mondial
    Les lieux du patrimoine mondial et leurs communautés locales, y compris les peuples autochtones, sont influencés par les experts internationaux et nationaux et des systèmes de gestion descendants, tout en disposant rarement de plateformes pour peser sur la recherche, la prise de décision et l'élaboration des politiques, qui ont un impact sur la gestion de leurs lieux de patrimoine. Les systèmes de connaissance autochtones et locaux peuvent jouer un rôle important en matière de protection et d'utilisation durable du patrimoine, et de façon pérenne généralement. Dans ce contexte, le Heritage Place Lab réfléchira à la manière dont les connaissances indigènes et locales pourraient influencer la gestion des sites au-delà des pratiques coutumières et avoir un effet à la fois sur les politiques nationales et celles du patrimoine mondial.
     
  2. Analyse et amélioration des systèmes de gouvernance et de gestion
    Les praticiens et institutions chargés du patrimoine naturel et culturel ont tendance à travailler de manière indépendante dans le cadre de différents mandats et objectifs de conservation guidés par les systèmes de gouvernance et de gestion en vigueur. Les lieux de patrimoine sont à la fois influencés et façonnés par ces différents apports, ainsi que par d'autres secteurs, tels que le développement, l'urbanisme, l'agriculture, le tourisme, pour n'en citer que quelques-uns. En outre, la gestion communautaire, les systèmes de gestion traditionnels et ancestraux, ainsi que les systèmes de gouvernance évoluant de manière autonome, influencent et contribuent à comprendre comment mieux gérer les lieux de patrimoine et de quelle manière le faire plus efficacement. Cependant, les connaissances indigènes, traditionnelles et locales ont des systèmes de transmission particuliers et spécifiques qui ne sont pas nécessairement transférables aux méthodologies scientifiques. Le Heritage Place Lab explorera la façon dont un dialogue entre et parmi les systèmes de connaissance pourrait être mieux établi dans le contexte du patrimoine mondial, y compris en considérant des approches intersectorielles, interdisciplinaires et transdisciplinaires. Dans ce processus, le Heritage Place Lab identifiera et analysera différents systèmes de gouvernance et de gestion afin d'identifier des modèles et des solutions de gouvernance efficaces pour les sites du patrimoine mondial. Cela implique que le Heritage Place Lab examine des études de cas susceptibles de servir d'inspiration à d'autres sites du patrimoine.
     
  3. Exploration des langues et des systèmes de connaissance locaux
    La Convention du patrimoine mondial fonctionne avec deux langues principales, à savoir l'anglais et le français ; et la plupart des outils et des guides ont été conçus dans ces langues, puis traduits. Comme les termes utilisés dans le cadre de la gestion du patrimoine mondial proviennent généralement de la conservation européenne, nous ne savons que très peu de choses des utilisations locales de la langue sur les lieux du patrimoine mondial. Ces dimensions linguistiques insuffisamment étudiées représentent souvent des sources d'information inexplorées pour comprendre les modalités de gestion et leurs divers systèmes de connaissances liés à un lieu spécifique, aux cultures et aux visions du monde. Un exemple pourrait être le concept de « développement durable », qui n'est pas nouveau pour les systèmes de connaissances autochtones. Le Heritage Place Lab explorera la diversité des langues autochtones et locales en relation avec la transmission des connaissances autochtones et locales sur les lieux du patrimoine mondial sous de multiples angles, afin d'encourager le dialogue entre les compréhensions locales et globales, en vue d'améliorer la gestion du patrimoine.
     
  4. Localisation du changement climatique
    Le changement climatique et la fréquence accrue des phénomènes météorologiques extrêmes et des risques qui y sont liés sont reconnus comme l'une des principales menaces pour les biens du patrimoine mondial. Le potentiel de la gestion du patrimoine à contribuer à l'adaptation au changement climatique en utilisant des systèmes traditionnels et locaux de gestion des risques de catastrophes sur les biens du patrimoine mondial est actuellement exploré. Cependant, les données de référence spécifiques à la plupart des biens du patrimoine mondial font défaut. Dans ce contexte, l'expérience des communautés locales en matière de changement climatique et de ses impacts depuis des décennies pourrait être utile pour localiser le changement climatique. L'implication des communautés locales dans le suivi de l'état de conservation et des impacts du changement climatique est une opportunité à explorer, par exemple en faisant progresser la science citoyenne. Le Heritage Place Lab étudiera le potentiel des indicateurs localisés pour surveiller les impacts du changement climatique, car ils pourraient être créés conjointement par les chercheurs et les gestionnaires de sites du patrimoine mondial, tout en impliquant les systèmes de connaissances indigènes et traditionnelles des sites du patrimoine mondial.

Qui peut soumettre sa candidature ?

Un groupe de recherche en accord avec un groupe de pratique (gestion de site), avec l'aval à la fois de l'institution ou des institutions de recherche à laquelle/auxquelles il est affilié et de l'autorité/des autorités de gestion du site du patrimoine mondial avec laquelle/lesquelles il fera équipe pour le Heritage Place Lab. Un groupe de recherche peut également soumettre sa candidature indépendamment, en indiquant le bien du patrimoine mondial avec lequel il serait intéressé de travailler à partir de la liste proposée par le WHL, présentée dans la communauté thématique Nature-Culture de PANORAMA.
Candidatures

  1. Remplir le formulaire de candidature.
  2. Accords officiels des institutions de recherche et de gestion du site (autorités).
  3. Curriculum vitae : 3 pages maximum, à jour, pour le responsable de la recherche (chercheur), y compris la liste des publications pertinentes, et pour le responsable de la pratique (gestionnaire de site).
  4. Curriculum vitae : 1 page maximum, à jour, pour les autres membres de l'équipe, qu'ils soient chercheurs ou gestionnaires de sites.

Langue de travail

La langue de travail du Heritage Place Lab sera l'anglais. La maîtrise de l'anglais écrit et parlé est une condition préalable essentielle à la participation.

Processus de sélection

Les personnes intéressées à participer à la phase pilote du Heritage Place Lab sont invitées à soumettre leur proposition d'équipe de recherche-pratique en remplissant le formulaire de candidature et en préparant un fichier PDF contenant toute la documentation demandée avec le titre : ResearchPracticeTeam_Nom du bien du patrimoine mondial/Institution(s) de recherche.pdf. Veuillez envoyer le fichier PDF au Dr Maya Ishizawa, responsable du projet Heritage Place Lab (iccr24@iccrom.org) en mettant l’adresse WHLeadership@iccrom.org en copie.

Les équipes de recherche-pratique présélectionnées seront contactées par courrier électronique et invitées à un entretien en ligne avec les responsables du patrimoine mondial de l'ICCROM-UICN en juin 2021.

Date limite de dépôt des candidatures

30 juin 2021 (CET)

Pour toute demande de renseignements, veuillez contacter Maya Ishizawa, responsable du projet Heritage Place Lab (iccr24@iccrom.org) en mettant l’adresse  WHLeadership@iccrom.org en copie.
Communauté thématique Nature-Culture de PANORAMA

1. Bamberg, Allemagne : Revitaliser historiquement le jardinage urbain enraciné dans la ville de Bamberg, Allemagne, classée au patrimoine mondial, par Patricia Alberth - https://panorama.solutions/en/solution/revitalizing-historically-rooted-urban-gardening-within-world-heritage-city-bamberg-germany

2. Budj Bim, Australie : Mise en place d'un propriétaire traditionnel, une approche basée sur les droits pour le paysage culturel de Budj Bim et un système de gestion des connaissances à double sens par Damein Bell - https://panorama.solutions/en/solution/establishing-traditional-owner-rights-based-approach-budj-bim-cultural-landscape-and-two 

3. Les Cinque Terre, Italie : Un modèle de gouvernance institutionnelle : approche de gestion partagée et coordonnée pour le paysage culturel de Portovenere, Cinque Terre et les îles (Palmaria, Tino et Tinetto) par Nicoletta Portunato - https://panorama.solutions/en/solution/model-institutional-governance-shared-and-coordinated-management-approach-cultural 

4. Réserve de biosphère de Cù Lao Chàm-Hôi An, Vietnam : Application de l'approche SLIQ pour la gestion intégrée de la nature et de la culture dans la Réserve de biosphère de Cù Lao Chàm-Hôi An, Vietnam par Thao Le Ngoc - https://panorama.solutions/en/solution/applying-sliq-approach-integrated-management-nature-and-culture-cu-lao-cham-hoi-biosphere 

5. Dolomites, Italie : Sauvegarde du paysage montagneux vivant des Dolomites par Marcella Morandini - https://panorama.solutions/en/solution/safeguarding-living-mountainous-landscape-dolomites

6. Patrimoine mondial des terrasses de Honghe Hani, Chine : Récupération du système traditionnel de gestion de l'eau et du bois dans le paysage culturel des terrasses de Honghe Hani, classées au patrimoine mondial, en Chine par Yuxin Li - https://panorama.solutions/en/solution/recovery-water-wood-traditional-management-system-cultural-landscape-honghe-hani-terraces

7. Forêts de Kaya, Kenya : Protection intégrée du patrimoine culturel et naturel des forêts sacrées de Mijikenda Kaya par Jimbi Katana - https://panorama.solutions/en/solution/integrated-protection-cultural-and-natural-heritage-sacred-mijikenda-kaya-forests 

8. Chaîne de montagnes Kii, Japon : Intégrer l'intendance religieuse et traditionnelle dans la gestion des sites sacrés et des itinéraires de pèlerinage dans la chaîne de montagnes Kii, classée au patrimoine mondial, Japon par Fumihiko Ito - https://panorama.solutions/en/solution/integrating-religious-and-traditional-stewardship-management-sacred-sites-and-pilgrimage

9. Laponie, Suède : Laponiatjuottjudus : un système de gestion participative dans la zone de patrimoine mondial de la Laponie, Suède par Åsa Nordin Jonsson - https://panorama.solutions/en/solution/laponiatjuottjudus-participatory-management-system-laponian-area-world-heritage-sweden

10. Lac de Ledro, Italie : Musées et développement local : relier la nature et la culture au musée de la palafitte de Ledro et à ses réseaux connexes par Donato Riccadonna - https://panorama.solutions/en/solution/museums-and-local-development-connecting-nature-and-culture-pile-dwelling-museum-ledro-and

11. Ngorongoro, Tanzanie : Étude du modèle d'utilisation multiple des terres (MLUM) en tant que stratégie pour la conservation durable du paysage dans la zone de conservation du Ngorongoro (NCA), Tanzanie par Joshua Mwankunda - https://panorama.solutions/en/solution/reviewing-multiple-land-use-model-mlum-strategy-sustainable-landscape-conservation

12. Norvège : Le patrimoine mondial en Norvège : politique nationale pour une mise en œuvre inclusive et participative de la Convention du patrimoine mondial par Aleksandra Einen - https://panorama.solutions/en/solution/world-heritage-norway-national-policy-inclusive-and-participatory-implementation-world 

13. Orkney, Écosse : Renforcer la participation de la communauté et des parties prenantes pour la gestion et la conservation du cœur des Orcades néolithiques et de son paysage plus vaste par Alice Lyall - https://panorama.solutions/en/solution/enhancing-community-and-stakeholder-participation-management-and-conservation-heart

14. Pimachiowin Aki, Canada : Valoriser les liens entre nature et culture dans la planification et la gestion du site du patrimoine mondial Pimachiowin Aki, Canada par Pimachiowin Aki Corp. - https://panorama.solutions/en/solution/valuing-interlinkages-between-nature-and-culture-planning-and-management-pimachiowin-aki 

15. Rapa Nui, Chili : Rétablir l'administration des terres ancestrales : la création de la communauté indigène Ma 'u Henua, gardienne du parc national de Rapa Nui, Chili par la Comunidad Indígena Ma'u Henua - https://panorama.solutions/en/solution/recovering-administration-ancestral-land-establishment-indigenous-community-mau-henua  

16. Les Rizières en terrasses des cordillères, Philippines : Impliquer les jeunes par l'éducation au patrimoine dans la conservation des rizières en terrasses des cordillères des Philippines, Philippines par Marlon - https://panorama.solutions/en/solution/involving-youth-through-heritage-education-conservation-rice-terraces-philippine

17. Røros, Norvège : Intégration de la culture sami dans le récit de la ville minière de Røros et du patrimoine mondial de la Circonférence, Norvège par Torfinn Rohde - https://panorama.solutions/en/solution/integrating-sami-culture-narrative-roros-mining-town-and-circumference-world-heritage

18. Skellig Michael, Irlande : Gestion du paysage culturel de Sceilg Mhichíl : relier la nature et la culture dans un effort de gestion multipartite par Fergus McCormick - https://panorama.solutions/en/solution/managing-cultural-landscape-sceilg-mhichil-connecting-nature-and-culture-multi-stakholder 

19. Les chutes Victoria/Mosi-oa-Tunya, Zambie et Zimbabwe : Engagement critique des parties prenantes : favoriser l'intendance communautaire pour la sauvegarde du patrimoine naturel et culturel des chutes Victoria / Mosi-Oa-Tunya par John Zulu - https://panorama.solutions/en/solution/critical-stakeholders-engagement-fostering-community-stewardship-safeguarding-natural-and

20. Socotra, Yémen : Soqotra Heritage Project : renforcement des capacités locales pour la protection du patrimoine culturel et naturel unique de Socotra par Alan Forrest - https://panorama.solutions/en/solution/soqotra-heritage-project-building-local-capacities-protection-unique-cultural-and-natural